Initialement prévu au 1er janvier 2022, le stationnement payant pour les deux roues à moteurs thermiques vient d’entrer en vigueur dans les rues parisiennes le 1er septembre. L’argument mis en avant par la mairie de Paris est celui de la lutte contre l’encombrement de l’espace urbain par les motos et autres scooters ainsi que les parkings sauvages.
Certains propriétaires et usagers de deux/trois roues thermiques n’ont bien évidemment pas manqué d’exprimer leur mécontentement devant ce qu’ils considèrent comme une énième atteinte à leur porte-monnaie et à leur liberté de circuler dans les rues de la capitale. Les piétons, quant à eux, semblent plus ouverts sur la question et attendent de cette nouvelle réglementation une meilleure gestion de l’espace public à leur profit. Pour autant, si l’on écarte les polémiques faciles, force est de constater qu’au-delà des rentrées financières qui vont abonder le budget de la municipalité parisienne, d’autres enjeux sont aussi à considérer. Voyons lesquels précisément. Poursuivre la lecture